Après mon intermède Spitfire, je reviens à mon sujet de prédilection. Là, je vais attaquer du lourd à savoir un dépanneur de chars Somua MCL5. C'est, bien sûr, une maquette de chez Maurice DES.
Quand on ouvre la boite, ça fait peur ; le carton est plein à raz bord. Les pièces sont présentées classées par sous ensembles dans rien moins que 19 petits sacs. Les pièces sont magnifiquement moulées et il n'y a quasiment aucun travail préparatoire à faire. C'est la qualité DES habituelle.
La notice de montage, comme toujours chez DES est illustrée de nombreuses photos.
J'ai attaqué le montage du premier sous ensemble : le moteur. Et, là, les angoisses métaphysiques commencent : à quoi ça sert de se casser le bas du dos à monter cette merveille de détaillage si on ne la voit plus après. Le seule solution à laquelle j'ai pensé est de représenter l'engin capot moteur ouvert : en panne ? en maintenance ?
Pour le diorama, rien n'est décidé de façon définitive. L'idée actuelle serait de positionner le véhicule devant un garage avec une pompe à essence et une carcasse de 402 Peugeot (Jacques, t'en souvient-il ?) qui rouille à côté. La dépanneuse en panne devant un garage... Ca fait un peu penser à un gag des Dupont et Dupond dans je ne sais plus quel album de Tintin. Je ne sais pas si c'est très vraisemblable : Les MCL5 étaient des engins "haut de gamme" distribués au compte goutte (3 par bataillon de chars B1bis ou S35) ; les mécanos devaient donc en prendre grand soin. On verra en cours de route ce que deviendra cette idée.
Bon, ben, yapuka.
Merci de vos avis et commentaires
J-F
Désolé...
ou whi...y japonais 
